Pas gai, pas gay. Dernier calin avec Patrick.

Publié le par Taddy

C'est sans complexe que je m'exhibais devant lui. Je jouais un peu la gêne mais c'était entièrement simulé, maintenant que j'étais entièrement nu la partie de morpion n'avait plus de sens, Patrick me demanda ce qu'il devait faire l'air un peu effaré. Un peu agacé je l'invitais à finir de se déshabiller, il émis le fait qu'il avait gagné, oui bien sur mais déshabille toi tout de même, nous allons passer un bon moment comme aux Sillages, je l'encourageais, je ne pouvais pas employer la méthode autoritaire. Patrick fini de mauvaise grâce certes mais il fini par se déshabiller. A force de persuasion il s'offrait nu à mon regard, je l'invitais à s'allonger sur mon lit, depuis longtemps mon sexe érigé ne laissait rien deviner de mon excitation. Alors que je le caressais je tentais plusieurs fois de l'embrasser sur la bouche, il résista, je lui fit une fellation c'était quelque chose d'inédit pour moi, je n'appréciais pas outre mesure. Je regrettais par la suite de ne pas m'être attardé davantage sur son sexe que je sentais tangiblement gonfler dans ma bouche. En effet nos  jeux amoureux n'étaient pas pour lui une source de plaisir, il me subissait plus qu'autre chose, il n'avait pas eu la force de caractère pour me refuser maintenant il attendait inconfortablement nu sur mon lit que j'en ai terminé avec lui. Je dus lui conduire la main sur mon sexe pour qu'enfin il le toucha. Sans doute comprit-il que son salut devait passer par là j'imagine très bien le dégoût que cela devait lui inspirer visiblement les amours homosexuelles n'était pas sa tasse de thé, cela m'importait le moins du monde. Je dus  faire cesser  plusieurs fois les allées et venues que sa main faisait  sur mon pénis pour prolonger mon plaisir. De son coté je n'arrivais qu'à obtenir une érection assez médiocre malgrés toute la bonne volonté que je déployais pour le mettre à l'aise et lui faire partager le plaisir que j'avais à être avec lui sur mon lit, je ne parvint pas à le faire jouir j'y étais pourtant arrivé quelques fois aux Sillages. Je mis tout de même fin à ce que je savais être son calvaire dans une formidable jouissance. Je restais étendu sur mon lit un peu abasourdi par le plaisir qui venait d'être le mien. Je n'avais plus envi de bouger, je ne songeais pas à masquer ma nudité devant Patrick qui était en train de se rhabiller trop content qu'il était d'en avoir terminé avec moi. C'est allongé et nu sur mon lit le ventre  inondé de mon sperme que Patrick pris congé de moi. Je savais que cette fois il n'y aurait pas de rémission, c'était la dernière fois que je faisais l'amour avec lui. Je ne pourrais plus l'attirer chez moi, d'ailleurs je n'essayerais même pas, il était pas question de l'entendre me  refuser. Maintenant je commençais à me poser des questions, s'il parlait aux Sillages à son éducateur, c'est probable qu'il le fit mais je  n'eu pas d'écho en retour. Si l'on était venu me demander des comptes il est certain que j'aurais été embarrassé, j'avais des arguments pour me défendre du genre que je n'ai pas traîné Patrick chez moi de force. Jamais rien ne me revint aux oreilles.

Publié dans Gay - Lesbien

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