Pas gai, pas gay. Encore d'autres garçons.

Publié le par Taddy

J'eu des gestes  "coupables" envers  un autre camarade de  ma  section il  s'appelait André,  bien que nous ne nous soyons jamais  résolus à  jouer franc jeu,  sous  prétexte  de jeux divers,  je pratiquais des attouchements à  l'endroit de son sexe. Toujours dans le même registre lors de l'éducation physique nous  allions quelques  fois  à  la piscine  de M...., je tentais  à  plusieurs  reprises de rallier à ma cause  un camarade alors  que nous  nous  rhabillions dans  les cabines,  le professeur de gymnastique  voulait que les élèves soient  deux  par cabine. Plusieurs fois je tentais la  manoeuvre sans parvenir à mes fins, je m'exhibais sans pudeur devant ce camarade sous  prétexte de me sécher et  de me vêtir généralement le sexe en érection, invariablement je me masturbais devant lui, mes exhibitions laissant mon camarade complètement de marbre, il fallait faire vite   le  bus nous attendait,  curieusement je n'étais jamais le dernier à  sortir de la cabine à croire que j'avais fait le mauvais choix, j'aurais du changer de camarade pour tenter de trouver quelqu'un se railliant à ma cause qui s'avérait être gay, mais ce petit jeu n'était pas sans risque voila pourquoi je ne tentais pas le diable. Ce pauvre camarade n'en parla jamais a qui que ce soit. Plus tard durant l'année scolaire, il y eu une  épidémie de  grippe,  mes  camarades  tombaient  comme  des  mouches,  ils allaient  à l'infirmerie les uns après les autres, tant  et si bien qu'il fut décidé pour les internes de  l'ouverture  du dortoir. Pour moi  rien ne se produisait, je n'étais  pas malade pas l'esquisse d'un  petit symptôme, je devais donc subir  les cours qui  comme  à  l'accoutumée  m'ennuyaient  prodigieusement. J'eu soudain un  éclair de génie,  voyant mes camarades  partir les uns après les autres,  je me dit pourquoi pas moi,  je demandais donc au professeur de bien vouloir me laisser aller à l'infirmerie ce qui ne posa pas de problèmes. Je me retrouvais donc dans le fond de mon lit au dortoir,  le pire c'est que deux ou trois heures plus tard j'étais effectivement malade et grelottais de fièvre. Au début de la soirée je vis les parents venir  chercher leur progéniture pour un retour dans  le foyer  familial, les Lavin sont aussi à leur tour venu me chercher,  ils n'étaient pas vraiment enchantés  d'être  obligés de  venir me prendre,  la pension qu'ils touchaient pour ma garde  était la  même que je sois à la maison ou au lycée, sauf qu'au lycée je ne leur coûtais rien. Remis de ma grippe dans un délais raisonnable je fus informé par la mère Lavin que si jamais j'étais encore malade cette fin d'hiver j'irais  tout droit à l'hôpital, je là savais assez roublarde pour là croire sur parole car bien entendu à l'hôpital je serais entièrement à la charge de la DDASS quant à la mère Lavin elle toucherait ma pension sans bourse délier, si j'ose dire ce serait du bénéfice net.  Malheureusement pour ses vues je ne tombais plus malade de l'hiver tant mieux pour moi, je suis sur qu'elle aurait mis son projet à éxécution. Je vois mal comment elle aurait fait pour me faire hospitaliser pour une grippe mais maligne comme elle était, elle serait parvenue à ses fins.

Publié dans Gay - Lesbien

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