Pas gai, pas gay. Les vacances.

Publié le par Taddy

Le voyage avançant nous finirent bien par nous calmer un peu. Avec les vibrations de l'estafette je me rendis compte que je ne pouvais absolument pas réprimer une irrésistible érection, je voyais mon pantalon faire une bosse, je masquais mon inconfort du mieux que je pus, au bout d'un certain temps ce fut un de mes camarades de voyage qui  fit observer en chuchotant pour ne pas que l'éducateur entende qu'il ne pouvait pas s'empêcher de bander. Moi non plus rétorqua un autre garçon et encore un autre, en fait nous étions tous dans la même situation, cela dura un bon moment et nous fit finalement bien rire. Les choses rentrèrent d'elles même dans l'ordre avec l'oublie et par l'intérêt de telle ou telle chose qui défilaient devant nos yeux. Nous fîment une première étape chez les parents de Jean-Claude dans le Cher, ils nous offrirent le petit déjeuner, notre passage ne fut pas une surprise pour eux, nous étions attendus. Je trouvais ce début de vacances super, Nous avions mis notre tente le premier soir dans un terrain de camping communal, le matin suivant notre arrivée dans ce camping alors que j'étais en train de m'habiller un des garçons me fit observer que j'avais un gros un gros sac il avait regardé la bosse que faisait mon sexe au travers de mon slip. Cette réflexion ne me fit  pas spécialement plaisir, j'étais déjà bien assez angoissé avec mon infirmité sans qu'il soit besoin d'en rajouter, je ne répondit rien à ce garçon, j'enfilais le plus rapidement possible mais aussi le plus naturellement mon pantalon, l'incident était clos. Durant ces vacances étapes nous visitions des grottes et tout un tas de choses, nous nous occupions nous même de notre intendance, nous avions notre budget journalier, et allions faire nos courses, il fallait confectionner les repas. rien de bien compliqué à faire, mais il fallait le faire et bien entendu et toujours la vaisselle. Jean-Claude ne nous donnait pas l'intégralité de notre budget journalier, ainsi avec l'argent économisée nous avons pus aller deux fois au restaurant. Ces sorties gastronomiques devait se faire au grand soulagement de l'éducateur qui avait un profond ras le bol de nos gamelles de pâtes et autres féculents, le comble se produisit lorsqu'un camarade posa dans le coffre de l'estafette une plaquette de beurre au lieu de la mettre dans la glacière. Avec la chaleur de l'été le beurre fondit Jean-Claude en retrouva plein ses affaires, Lorsqu'il s'aperçut du désastre je peux vous dire que ça à chauffé pour le fautif. Malgrés tout, cela fut bien vite oublié et les vacances reprirent leur cours normales. Toutes bonne choses à une fin, ces dix jours de vacances passèrent bien vite, déjà nous reprenions étape par étape le chemin de M....,, j'étais un peu triste, ça c'est un truc hérité de chez lzs Morel, il n'y avait plus là où nous nous trouvions de montagnes, après une ultime étape nous rejoignions les Sillages, il me restais encore une vingtaine de jours de vacances à tirer, ma tristesse de la veille était déjà bien loin, maintenant que j'avais retrouvé mon milieu habituel. Je ne me rappel plus comment j'utilisa mon temps de vacances toujours est-il que la reprise du travail arriva bien vite, déjà la routine repris ses droits.

Publié dans Gay - Lesbien

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