Pas gai, pas gay. La punition de la grand-mère.
Un dimanche alors que j'avais passé la journée chez les grands-parents comme à l'accoutumée, j'avais été particulièrement insupportable, entre autre j'avais tiré la langue au grand-père alors qu'il me réprimandait sur une bêtise que je venais de faire, la grand-mère quant à elle essayait de minimiser la chose, elle me pardonnait tout. Le Grand-père me ramenant chez les Morel le soir raconta mes exploits de la journée. Dès que le Grand-père eu tourné les talons, je m'entendit dire que puisque c'est ainsi dimanche prochain je n'irais pas chez la grand-mère.
Le dimanche suivant arriva, la grand-mère m'attendait comme tout les dimanches à la sortie de la messe, je n'eu pas le courage de lui avouer que j'étais puni et que je ne pouvais pas venir chez elle. Après avoir fait un tour sur le marché, nous rentrâmes au 36, rue de la Fontaine. Je m'installais sur la table de la cuisine pour faire un dessin à la peinture. curieusement j'étais sage, je pensais que les choses allaient en rester là que personne ne viendrait interrompre ce moment de bonheur qu'était pour moi mes visites hebdomadaires chez la grand-mère. Même si je ne me suis pas toujours montré en tout en cas en gentillesse à la hauteur de la situation. Au bout d'un certain laps de temps voilà que l'on sonne à la porte, c'était Michel mon compagnon de chez les Morel qui venait me chercher. Je revois encore aujourd'hui le chagrin qu'occasionna cette punition pour ma grand-mère je crois que la grand-mère subit davantage la punition que moi même.