Pas gai, pas gay. Taddy de nouveau chez le juge.

Publié le par Taddy

Le jour pour voler des stupéfiants au laboratoire mis du temps à se présenter il arriva sans crier gare. Je mis mon plan à exécution, je subtilisais la valeur d’un poing de la main c'ètait de l'opium. Je ne savais pas quoi faire de mon trophée toujours est-il que j’en gardais une petite quantité dans mon studio et allais cacher le reste dans le grenier. Avec le studio je bénéficiais d’une petite dépendance au grenier. Je ne mis gère de temps à parler à mes copains des Sillages de ce que j’avais chez moi. Toute une ribambelle de potes vinrent pour voir ce que l’on pouvait en faire, pour ma part je n’en avait pas la moindre idée. Ce qui devais arriver arriva, un jour je vis deux messieurs en civil venir dans l’atelier où je travaillais, après être passés dans le bureau du responsable mon chef vint m’informer en compagnie des deux messieurs que ceux ci voulaient me parler et que j’étais prié de les suivre. L’un des deux messieurs ne m’était pas inconnu mais sans plus. Je me vit accompagné au commissariat de M.... pour 24 heures de garde à vue avec tout ce que cela comporte, en fait je retrouvais un de mes copains, nous avions été vendu par l'un d'eux, enfin ex copain. Nous avons été interrogés toute la journée, par moment aussi dans la nuit, les inspecteurs me réveillèrent à plusieurs reprises. Quand à leur avis le dossier fut bouclé. Ils tentèrent de me faire avouer que j’avais aussi volé des cyclomoteurs eu égard à mon ancien dossier, celui du vol du Solex. Cette allégation eu le don de me mettre dans une colère noire. L’inspecteur n’insista pas. Je fus raccompagné au trou où cette fois je pus terminer ma nuit. Le matin arriva bien vite, le moment d’être présenté au juge d’instruction aussi. Dans les couloirs du palais de justice, alors que nous attendions notre passage devant le juge, un homme que je reconnaissais être un gardien de prison à son uniforme passa à notre hauteur. L’inspecteur qui nous accompagnait interpella ce dernier pour l’avertir que nous étions des clients pour lui tout à l’heure, le gardien ricana, la peur d’un nouveau passage en prison me nouait les tripes. Nous fûmes introduit tour à tour dans le bureau du juge. Je ne sais plus qui de Baron ou de moi entra le premier. Lorsque la confrontation avec le juge fut terminée, Baron et moi étions libres. Ceci eu le don de mettre l’inspecteur en rage. J’appris plus tard que notre mise en liberté avait causé un tollé au commissariat. Baron le compagnon d’infortune en fait était le garçon dénonciateur...

Publié dans Gay - Lesbien

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